Jésus de Nazareth est né il y a plus de 2 000 ans, mais sa vie continue de nous interpeller jusqu’à aujourd’hui. Il naît pauvre dans une petite ville et vit ses premières années comme réfugié. Adulte, il perd son père, qui était travailleur journalier et prenait soin de sa mère. Il pleure sur la tombe d’un ami. Il souffre. Il meurt.

Mais il n’est pas un homme ordinaire. Durant les trois années avant sa mort à 33 ans, ce fils de charpentier ébranle les peuples de Judée et de Galilée. Il prêche un amour radical de ses ennemis, pardonne les péchés, guérit les malades et mange avec les exclus du monde. Sur la croix romaine, il pardonne ceux qui l’ont méprisé et ridiculisé. Au troisième jour, Jésus ressuscite.

C’est normal de douter des miracles dont nous n’avons pas été témoins. Il n’y a pas de honte à douter : Dieu nous a dotés de raison pour que nous en fassions usage. Sauf que nous savons pertinemment que les témoins de la résurrection de Jésus étaient prêts à souffrir et à mourir plutôt que de nier son retour. Après plus de 2 000 ans, les fidèles continuent de rencontrer Jésus ressuscité et de témoigner de cette expérience.

Jésus ne se disait pas maître à penser. Il se disait l’incarnation de Dieu. S’il n’était pas vraiment Dieu, alors Jésus mentait ou délirait. L’autre hypothèse, c’est que Jésus disait la vérité.

Jésus était celui qu’il disait être.

S’il est vraiment Dieu, qu’est-ce que ça signifie dans votre vie?

Vous n’êtes pas la première personne avec ces questionnements. Depuis l’aube de la création, l’humanité cherche son créateur. L’Église récite sans relâche la même réponse : Dieu existe et, par amour, il se révèle à nous en Jésus.